Kawa le créateur d'un monde

Bonjour ou bonsoir plutôt. Bon est bien je suis dans un collège un peut bizarre... Allemand pour être précis, cela s'appelle Rudolf Steiner je suis en 9eme classe ce qui vaut la 3eme^^ et tous les 9eme ( 3e) doive faire un projet d'années ( y'en a qui on fait des violon, des lit, des guitares électriques, ou encore des romans, des film …. Des mangas … Enfin ce que on veut quoi ^^)


Moi je fait une nouvelles qui est un peut grande ^^ je vous met un extrait *U*



Une lettre d’espoir




Mon fils, aujourd’hui j’ai réussi ce que personne n'a fait auparavant. J’ai pris un radeau et j’ai franchi les mers infranchissables, il y a eu une grosse tempête mon radeau s’est brisé, j’ai faillis mourir mais un brave homme m’a secourue.
Cette homme se nomme « Soungila » c’es un habitant du peuple du renard, il m’a gracieusement accueilli dans sa tribu. Ce ne son pas des indigènes, mais des personnes ayant des cultures différentes de nous.
Soungila et son, peuples sont des êtres mystérieux.


Kawa, mon tendre fils, tu dira à ton père de ne pas perdre espoir que je suis heureuse là-bas .Je ne rentrai pas de sitôt car je me rends compte qu’il me reste encore beaucoup à apprendre car à côté d’eux nous ne sommes que des apprentis dans la vie. Rassure ton père, je compte sur toi car je sais qu’il est plus fragile que toi !
Je ne sais pas combien de temps je resterai à vivre dans une tribu comme celle-ci, peut être dix ans peut être quinze …Qui sait, tu as le droit d’être en colère. Moi aussi je le serais si ma mère aurais fais ça !
Mais je t’en prie rassure ton père.

Yumi ta mère qui t’aime.

Post-scriptum :n’essaie pas de me rechercher tu en périrais.
Empêche ton père de tomber dans la folie.
Reste en vie quoi qu’il arrive.
Pardonne- moi de t’avoir donné des nouvelles si tard.
Un jour je te reverrai !
Fais-moi confiance !
Je ne pourrais sans doute pas te réécrire car le papier est rare.
Ne crois pas que je t’aie abandonné.
Et comme le dit un proverbe de là-bas :
Si le vent souffle c’est que je pense à toi.


Kawa relut la lettre de sa mère plusieurs fois. Sa mère se fichait donc de lui ? Elle paraissait s’inquiéter plus de son père que de lui-même.
Mais elle avait raison, depuis que sa mère a voulu jouer les aventuriers, sont père était tomber dans une terrible folie. Il avait un comportement bizarre !

Kawa est un garçon âgé de quatorze ans, il a les cheveux noir au reflet or.
S’il y a quelque chose d’étonnent chez Kawa, c’est sans doute la longueur de son visage, au début cela paraît choquant, mais si on le regarde de plus près on remarque que c’est normal vu la taille de ses yeux couleurs vert pâle. Il avait des yeux qui étaient une fois et demie plus grande que la norme. Kawa habitait Shrana, la ville voisine de Sana. Jadis Shrana et Sana était deux sœurs, elles avaient fait un pacte sanglant qui a entraîné la mort de Sana. Hors sans Shrana sana devait mourir, tels était le pacte.
La légende raconte même que ses deux filles sont les créatrices du monde.

Kawa était assis par terre sur le sable rouge et chaud de la plage. Il se releva pour rentrer chez lui. En chemin il vit une foule de gens, chose inhabituelle, car à Shrana le monde se fait petit.
Il y avait environ cent personnes, qui étaient en cercle et ils semblaient tous amusés de la chose qu’ils entouraient. Par simple curiosité Kawa se joignit à la foule, il se faufila à travers les gens pour voir qu'est-ce qui était si hilarant.
Il ne réussit pas à voir la personne mais il put entendre :
- Je vous jure que dans mon sommeil Sana et Shrana m’ont parlé.
- Mais oui, répondit une voix parmi la foule, ici tout le monde sait que les créatrices n’apparaissent à personne en rêve
- Elles m’ont même dit que elles vivaient dans un autre monde
- Arrête cria une voix féminine, arrête Maito !
- Et pour aller dans ce monde, il faut aller dans le désert de l’oubli. L’homme se nommant Maito était le père de Kawa, celui-ci l’ayant reconnu le saisit par le bras. La foule riait au éclat en voyant le fils disputer le père. Kawa subissait la plus grande humiliation de toute sa vie !
- Es tu fous demanda Kawa quand il fut loin du monde qui se moquer de sont père
- Alors même, toi tu ne me crois pas ?
- Enfin papa, tu sais bien que ce n’est pas vrai
- Je te jure Kawa je te jure.Maito le regardait d’un air triste
- Ecoute papa, moi aussi elle me manque, mais ne sombre pas dans la folie je t’en pris.
- Mais je ne mens pas ! Kawa lui tendit la lettre écrite par sa mère. Maito sont père la lut lui aussi plusieurs fois puis il pleura à chaude larmes
- Papa je t’en supplie !

Kawa rentra chez lui en pleurant. Il se mit au lit en espérant une bonne nuit de sommeil. Il ne tarda pas à dormir profondément.



Au loin une ombre avançait, elle grossissait au fur et à mesure de ses pas… L’ombre était un homme au visage panthère, il portait un pendentif en forme d’étoile. Dessus, il était inscrit : Tsuka. Une légère note de musique planait au dessus de l’homme au collier. Un accord de « ré » et de « do ». L’homme leva la main un peu en colère et cria :

- hikiwake. Le ciel se brouilla, un long brouhaha se fit entendre. Mais soudain le ciel s’ouvrit comme en colère. Et un homme sortit du ciel.
- Bonjour Tsuka répondit l’homme qui planait toujours en l’air.
- Bonjour Simka, j’aurais besoin d’un de tes conseils.
- Que donnera- tu en échanges demanda Simka d’un air malicieux
- Que veux tu ? Tsuka se gratta le menton d’un air perplexe, il savait que Simka était un être divin.
- Je veux que tu m’offres un arbre ! Tsuka faillit s’étrangler à cette réponse. Après tout un être divin pouvait avoir ce qu’il voulait.
- Mais pas n’importe quel arbre, un grand sourire apparut sur Simka.
- Quel genre d’arbre ?
- Un chêne !
Tsuka tremblait de rage. Ils se situent tous deux dans un immense champs de chênes, et voilà que cette êtres divin lui demandais un chêne.

- Acceptes- tu ?

Tsuka prit sont sabre s’apprêtant à couper un chêne.
- Sans ton sabre, imposa l’être divin
- Avec quoi alors ? tout de même pas à la main répondit-il d’un air féroce. Simka fit apparaître une sorte de pelle avec des piques au bout du manche, Tsuka s’en empara en ravalant sa fierté. Et il creusa au pied d’un arbre essayant de le déraciner, mais le chêne avait pris racine bien loin. Finalement Tsuka laissa tomber la pelle à terre réalisant qu’il saigner.
- J’en peut plus déclara- il
- En faisant ce geste tu ma prouvé ta détermination, qu’elle sont tes questions ?
- Où se trouvent les fondatrices de notre terre ?
- Au ciel
- Simka cria Tsuka tout les êtres divins vont quelque part ! Regarde mes mains dans quel état elles sont à cause de toi !
- Tu veux des réponses, qui te dit qu’elles seront à ton goût ?
- Je suis prêt à affronter la réalité
- Sana et Shrana sont dans un autre monde
- Où trouver se monde ?
- Il est vers le désert de l’oubli. Soudain tout devin trouble, Simka et Tsuka devinrent flou, les accords de notes « ré » et « do » devinrent en désaccord avec tout l’ambiance qui tourner auparavant.





Kawa se réveilla en sursaut, son lit était rempli de sueur. Quelle étrange rêve dit-il pour lui-même, en regardant la lune. Kawa sortit prendre l’air, il faisait un noir intense, seules les étoiles donnaient un peut de vie dans cette pénombre cruelle. Derrière lui, il entendait des bruit de pas, il se retourna mais ne vit rien. Mais les bruits n’avaient pas disparu. D’ailleurs aux bruits inquiétants vinrent se mêler des rires froids et sadiques. Il se retourna de nouveau, mais toujours personne, mais au bout d’un moment il dit tout de même :
- Qui est là ? Evidement personne ne répondit. De peur ,il partit en courant direction sa maison. il rentra dans la petite pièce qui était illuminé avec une bougie.
- papa cria-t-il… Personne ne répondit
- papa cria t-il de plus bel. Kawa courut dans la chambre de son père, personne. Alors il chercha de partout, son père avait bel et bien disparu. Il finit sa nuit dans l’angoisse et dans la peur.




Au petit matin, il faisait doux, l'air était léger, Kawa fut poussé hors du sommeil par les chant des oiseaux, ceux-ci chantaient avec joie et bonne humeur, ce qui n’était pas le cas de Kawa. Il sortit de chez lui sachant que sont père n’était pas revenu, il marcha sans interruption, pendant quelques kilomètres.


Bon je met que ça car j'ai peur du plagia... Pardonnez mes fautes je vous prie ^^